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C’est une cendrillon d’un autre continent qui est venue surprendre 600 spectateurs au théâtre Alexis Peyret jeudi 4 et vendredi 5 juillet.

Et il fallait oser faire ce mélange de danses classique et africaine. C’est un peu comme un plat sucré salé, l’opposition peut plaire ou déplaire. A entendre les applaudissements, nul doute que cela à plu. Pour cette septième édition, la chorégraphe Manuella Roiatti-Pellure, professeur de l’association « Mawela danses » et qui jouait« la marâtre » dans ce spectacle, avait décidé de renouer avec sa formation de danse classique et son amour pour les ballets. L’histoire revisitée a permi à la très belle Cendrillon venue d’Afrique, jouée par Jeannette N’Gou, d’acquérir une place à part entière à partir du meilleur de deux cultures. Si le ton était à l’émotion durant les ballets classiques dansés sur une musique du compositeur russe Sergueï Prokofiev, Peio Guitard et son ensemble de djembés ont, lors de leurs rares apparitions, dynamité l’ambiance et fait danser Cendrillon, ses amis et le prince charmant jusqu’ à 23 heures……….dommage pour la légende.

« ELLES : article journal la république juillet 2017