« L’enseignement n’est pas une < coupe que l'on rempli mais un feu que l'on allume" Montaigne
Partager la passion de la danse, allumer une flamme, voilà ce qui anime l’équipe pédagogique diplômée de l école.
Notre objectif : Des exigences artistiques et techniques qui permettent à chaque élève de grandir dans son art.Manuella Roiatti-Pellure
MODERN’JAZZ
Après 20 ans danse classique, discipline qui m’a donné le goût de l’effort, de solides bases, la passion, la rigueur, l’exigence, qui permet l’envol, la légèreté.
Mon chemin croise celui de la danse jazz.
Formée auprès de merveilleux professeurs (es) de renoms : (Géraldine Armstrong DE, Rick Odum’s, René Deshauter, Redha, Anna Sanchez, Anne Marie Porras….)
J’ai ensuite développé ma technique de danse « métisse » : le Freestyle jazz .
Un jazz libre, mélange des Danses blanches (Classique, moderne) et des Danses noires (Afro et jazz).
Mon travail offre un large champ chorégraphique et un panel musical varié.
Le ressenti et l’expression sont au cœur de ma danse.
DANSE CONTEMPORAINE EXPRESSIONNISTE« La danse la plus riche en combinaisons techniques d’attitudes corporelles ne sera jamais qu’un divertisement sans portée ni valeur si son but n’est pas de peindre en mouvement les émotions humaines ».
Jean-Georges Noverre (1727-1810)
DANSE AFRO-CONTEMPORAINE
Après de nombreuses formations auprès de prestigieux chorégraphes de danse africaine contemporaine (Norma Claire, Koffi Koko, Vincent Harisdo, Germaine Accogny, Marie-Claude Zordan, Irène Tassimbedo, Achille Akakpo….), j’ai suivi la formation « racines » avec la jeune génération de danseurs africains sur l’étude de danses choisies dans le répertoire traditionnel guinée, mali, côte d’ivoire et bénin). Formée également en danse Afro brésilienne par Eneida Castro et José Chalon.Aujourdh’ui il est évident pour moi de faire: » Ma danse d’expression africaine contemporaine » ouverte à tous débutants et initiés de l’integrer dans mon univers de danse : Puissante, douce, féminine et résolument Monderne emprunte du monde d’aujourd’hui.
